Lisez la charte du forum avant de commencer à participer. Si vous êtes nouveau, une présentation est toujours appréciée afin de mieux se connaître !
Merci pour le titre Coco, pas moyen de l'retrouver...
Et ce sont vos (nos) délires picturaux qui donnent des idées... Après, on écrit plus ou moins n'importe quoi avec des mots spéciaux et ça passe.
Oooookay les enfants, on se cramponne à son calbut, parce que douze posts dans l'cul ça énerve.
Donc avec GinAA on fomente depuis une semaine pour ranger les douze salles en retard et là, va falloir visser votre spangenhelm parce que c'est feu nourri, direction votre culture
Avertissement : Chaque salle aura son post personnel (ça va faire un pacson de double posts ! ) pour des raisons de ... salle spéciale qui devrait se situer après la salle 50.
Bon ben... quand faut y aller...
GinAA ? CAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAATAPUUUUUUUUULTES !
Salle 45
Œuvre CLXXVII par GinAA
Nature morte sur fond de grisaille. Combattant la morosité du quotidien matérialisée par un fond bleu-gris uni, GinAA nous offre une profusion de fleurs aux couleurs vives et gaies. Deux écoles s’opposent quant à l’interprétation de l’accessoire présent sur la tableau, d’aucuns y voient une sorte de caisse plate munie d’une roue, d’autres y voient un homme stylisé et encapuchonné rendant visite à sa belle, les bras chargés de fleurs. Le musée Hervé de Rinel ayant choisi de l’exposer « tête en bas », a choisi l’interprétation de la boite. Discutable, mais néanmoins charmant.
Tatie
Œuvre CLXXVIII par RP
Simplicité des lignes, sobriété des couleurs pour une ambiance médiévale. L’artiste, profondément provocateur place sa revendication pacifiste au cœur de l’époque la plus violente de notre Histoire. Le fier guerrier nous prend à parti. Nous faisant face, il affiche clairement sa rébellion : la violence n’est pas une fatalité. Il suffit de croiser les bras pour faire de sa dignité un bouclier. Désarmant.
Tatie
Œuvre CLXXIX par Flammèche
Une femme, dans une boite ouverte se tient devant un homme qui brandit un parchemin. Véritable dénonciation des travers comportementaux masculins, cette œuvre, précise et focalisée sur son sujet nous interpelle sur les relations homme-femme. A la première incartade, la femme est remballée et renvoyée à ses parents. L’absence de décor symbolise l’universalité de cette habitude, ô combien misogyne, que constitue la mise en boite des femmes. Flammèche fait là œuvre utile en rappelant la fragilité de la condition féminine.
Tatie
Œuvre CLXXX par Tatie
Une évocation des peintures rupestres, cette première forme d'art qui montre cette époque bénie où l'homme ne pensait pas pouvoir maîtriser la nature et qui, en toute intelligence, gardait ses distances avec ses compagnons de niche écologique. Tante Cryda nous brosse ici un épisode de notre histoire et de nos interactions avec les animaux. Episode situé avant l'éveil d'une conscience de toute puissance. Merci qui ? Merci Tatie !
GinAA
Salle 46
Œuvre CLXXXI par Flammèche
Dénonciation virulente des abus de la chirurgie esthétique, cette œuvre malmène nos souvenirs d’enfance, en nous offrant ici une vision de cauchemar : Nounours, le gardien de nos rêves a croisé le docteur Frankenstein. Il n’en semble pas ravi. Il n’est plus que la moitié de lui-même. A vouloir trop contrarier Dame Nature, on risque une punition bien cruelle. Nounours rentrera chez lui à pinces. Dérangeant, mais salutaire
Tatie
Œuvre CLXXXII par Ogma
Un champ de coquelicots au soleil. Une œuvre ô combien bucolique : de la verdure à perte de vue, des fleurs écarlates groupées autours de taches de neiges. Mais que fait l’homme brandissant une épée ? Fête t-il à sa manière le printemps, qui a grands coups de coquelicots, repousse la neige ? Mais pourquoi la neige a-t-elle une forme animale ? Interrogé sur le sujet, Ogma, un peu gêné a juste prononcé cette phrase sibylline « J’en avais trop pris, gros. » et a baptisé son œuvre Le sacrifice du printemps. Etrange, pour le moins.
Tatie
Œuvre CLXXXIII par La Fée Mélusine
Ambiance lugubre : ciel de nuit de pleine lune, décors gris, deux amants enlacés donnent une leçon de chant à un couple de loups attentifs. Baguette levée, l’homme s’impatiente : la fa dièse n’est pas juste. La femme quant à elle s’inquiète : monsieur loup devient menaçant, le donneur de leçon est à son goût. L’insécurité s’installe, la lune s’enfuit dans l’angle du tableau, un halo démoniaque enveloppe les loups. Pour la suite on connaît la chanson.
Tatie
Œuvre CLXXXIV par Tatie
Tatie revisite sa palette pour s'engouffrer dans une nouvelle approche visant à transcender le sujet par le tachisme. En permanente recherche de nouveauté, l'artiste repousse ici ses limites. Nous ne sommes pas encore dans l'abstraction pure, n'ayant ni objet ni sujet, mais on sent que le peintre est en transition. Les pigments sont choisis pour leur luminosité joyeuse, alors que le sujet est tragique, pouvant évoquer la pomme de Blanche-Neige. Nous sommes clairement dans une toile engagée, dénonçant les dangers que courent les enfants, à accepter les offrandes colorées des gens agaçants.
GinAA
Salle 47
Oeuvre CLXXXV par Flammèche
Flammèche nous replonge dans un portrait réaliste, technique qu'elle maîtrise aujourd'hui à la perfection. Il y a du Vermeer dans cette toile. Une influence certaine de « La jeune fille à la perle ». On y retrouve le visage de 3/4, le turban et, à défaut d'une perle, une coccinelle vient finaliser la scène.
GinAA
Oeuvre CLXXXVI par Ogma
Pour faire passer son message, Ogma utilise toutes les techniques dont il dispose. L'utilisation monochrome du rouge, l'exagération des formes, l'absence de décor. Tout cela donne de l'intérêt à ce personnage difforme qui risque l'explosion. L'artiste a bien appréhendé également le vide intersidéral du regard de cet individu. L'oeuvre est assez audacieuse... voire même, franchement gonflée !
GinAA
Oeuvre CLXXXVII par GinAA
Une fois n’est pas coutume, GinAA se livre là à une expérience picturale étonnante. Sa toile, entièrement blanche, porte en guise de signature un point d’interrogation et une petite tache brune. L’artiste met-elle en avant ses origines italiennes en signant son œuvre de sa couleur de cheveux ? Mais pourquoi le point d’interrogation ? Difficile de trouver dans le monde de l’art, œuvre plus énigmatique. Peut-être, ne s’agit-il là que de l’expression d’une certaine lassitude exprimée en langage universel et qu’on pourrait traduire par : « Je n’ai rien à dire, et alors ? Merde ! ». Ironie d’artiste !
Tatie
Oeuvre CLXXXVIII par Bothan
Une oeuvre sur les pataquès, volontairement zenfantine, à la frontière entre le dessin de livre d'école et de l'art naïf. Cette toile est un cri contre les liaisons grammaticales zazardeuses et mal t-à propos. Le choix des personnages n'est pas innocent. Les rois, eux aussi, peuvent être des z-héros.
GinAA
Salle 48
Oeuvre CLXXXIX par GinAA
Petite pause réconfortante dans notre quotidien épileptique. GinAA, par cette œuvre orientée vers le pur bien-être, nous offre l’image la plus parfaite d’un bonheur simple. Usant de toutes les couleurs hautement symboliques de sa palette, et imposant le vert, ô combien calmant et optimiste, comme teinte dominante, elle prend comme sujet un foyer chaleureux symbolisé par un feu de bois. A sa base, l’ardeur rouge des sentiments amoureux s’élève doucement sous l’action de la raison bleutée en une joyeuse chaleur dorée dégradant au passage toute la sale eau qui alourdit l’air. Ne demeure dans l’air qu’une délicate vapeur blanche et pure, débarrassée de ses impuretés. Le bonheur commence là où disparaissent les sales eaux. Salutaire.
Tatie
Oeuvre CXC par Coco l’Asticot
Une fois n'est pas coutume, le musée s'offre un tableau chanté. Sous les pinceaux de Franciscoco L'aGoyastico, sur une partition pour guitare sèche de Lagoya, interprété par l'inébranlable Chantal Goya. C'est toute la Goya Family, réunie dans notre musée. Plus qu'un bonheur, plus qu'un honneur.... Une fierté !
Extrait ♫ Ce matin, un Romain, a tué un chasseur. C'était un Romain qui, c'était un Romain qui... ♫
GinAA
Oeuvre CXCI par GinAA
Dans ce tableau-hommage à Jean-Baptiste de la Quintinie, roi du Potager au XVIIè siècle, l’artiste représente le fier botaniste, en pied, dominant ses magnifiques apiacées. Tournant le dos aux jardins verdoyants de son collègue Le Nôtre, c’est les deux pieds en pleine terre que pose le monarque de la carotte et du navet. Depuis sa disparition, les légumes se sont affadis et l’artiste, pour souligner le drame de cette perte se contentera de bander les yeux du grand homme de deux traits de peinture blanche. Non Jean-Baptiste, personne ne t’oublie !
Tatie
Oeuvre CXCII par Ogma
Un artiste qui essaie toutes les techniques, tous les styles et qui, ici, tente, avec bonheur, l'art naïf. Ogma s'éloigne complètement de tout académisme et utilise des couleurs vives et franches, des traits spontanés et l'absence totale de perspective. Certains y ont vu une allégorie picturale du poème de Rimbaud : Le bateau ivre. Bref, boire ou conduire un bateau, il faut choisir !
GinAA
Salle 49
Oeuvre CXCIII par Bothan
Une mer démontée, une frégate en dérive, Bothan nous propose un préquel du célèbre « Radeau de la Méduse » de Géricault. La mer est déchaînée, le capitaine inexpérimenté louvoie tant bien que mal. Le naufrage n'est pas loin. Cette oeuvre historique brosse un moment clef de l'Histoire, juste avant le naufrage. Juste avant le drame, quand les membres de l'équipage dériveront sur un radeau de fortune, mourant noyés, s'entretuant et dont seuls quelques hommes en réchapperont. Une toile qui s''inscrit dans la 'vague' romantique. Une oeuvre qui témoigne de notre Histoire.
GinAA
Oeuvre CXCIV par GinAA
Tentant la même expérience que Picasso, GinAA a essayé de retrouver son innocence artistique en peignant comme un enfant. Il était normal que le thème de l’œuvre soit lié à l’enfance, elle a donc choisi LA comptine « Maman, les p’tits bateaux ». Même si la mer trahit la maturité de l’artiste, les bateaux eux, laissent entrevoir l’âme d’enfant de GinAA. On peut néanmoins s’interroger sur la tache grise au centre de la toile. Une tête de baleine, peut être ? Mais c’est le propre de l’enfance de laisser libre l’interprétation, alors ne dénaturons pas le propos en cherchant à trop l’expliquer. Rafraîchissant
Tatie
Oeuvre CXCV par Bothan
Bothan tend à se spécialiser dans les calligrammes. Fervent amateur d'Apollinaire, il nous offre ici une oeuvre moderne, presque phylactérienne. Jouant sur les transparences d'aquarelle et sur la finesse de l'encre de Chine, cette toile est un exemplaire unique dans le monde et sera un des fleurons de notre musée. Et paf !
GinAA
Oeuvre CXCVI par GinAA
Étonnant sujet que celui de cette œuvre énigmatique et cruelle. L’absolue virginité du décor oblige l’œil du spectateur à s’attarder sur la souffrance passive de ce hérisson humain. Quel est le rôle du bâton, seul élément externe de la scène ? Sans doute est-ce là l’emblème des fakirs, le symbole de la dureté, de l’endurance à la douleur. Le bois ne se plaint pas quand on le cloue, ainsi agit le fakir. Cependant, le morceau de bois ne saigne pas, lui, il a dû y avoir un problème… Tant va le fakir au marteau qu’à la fin, il se vide. Un leçon à méditer.
Tatie
Salle 50
Oeuvre CXCVII par Flammèche
Jouant sur le contraste, Flammèche moque les signes extérieurs de richesse et dénonce la fatuité des apparences. Le somptueux petit coffret de bois précieux, doublé de velours cramoisi ne contient pas les joyaux qu’on pourrait s’attendre à y trouver. Seuls quelques cafards profitent de sa confortable hospitalité. Ironique et un brin cruel.
Tatie
Oeuvre CXCVIII par Coco l’Asticot
Coco utilise cette fois une technique aussi innovante qu’efficace pour son récit pictural : le passé du sujet est réduit à quelques lignes noires et bleue. Seuls sont précisés des éléments traumatiques couleur gris ennui : ce sont trois poissons sanguinaires. Pour l’état présent du sujet au contraire, l’artiste, respectueux, soigne détails et couleurs pour ne pas tomber dans le misérabilisme. Droit face à nous, la victime apporte son témoignage sur sa vie, des truites, son combat. Mais son message est plein d’espoir, comme en témoigne la teinte joviale de l’indicateur de conséquences matérialisé par une flèche verte et la présence rassurante des béquilles, fermement empoignées. Il a la pêche. Optimiste.
Tatie
Oeuvre CXCIX par Bothan
Un luxe de détails, un choix habile de couleurs vibrantes pour une œuvre étonnante d’où le sujet est presque absent. Bothan détourne notre attention en représentant une chambre confortable et chaleureuse, véritable hommage à La Chambre de Van Gogh. Mais la chambre n’est pas vide, son occupant est bien là, cependant, on ne voit que son bras à la main ensanglantée. Une épée git sur le sol de la chambre, pointant de sa lame sa victime. Que s’est-il passé ? Sobrement baptisée Scène de crime, cette œuvre est un appel à la vigilance adressé au Monde, un cri anti-armement. Bothan le pacifiste avertit : comme on fait son lit, on se coupe ! A bon entendeur…
Tatie
Oeuvre CC par Coco l’Asticot
Tendres émotions pour une fin de visite de la salle 50. Véritable bulle d’oxygène salutaire, cette œuvre présente deux chiots, si attendrissants qu’on en oublierait qu’ils ne sont qu’une idée. La réalité est toute autre, les trois précédentes œuvres l’ont prouvé. Le message de Coco l’Asticot est d’autant plus clair qu’il ne souffre aucune surabondance de détails, absence de décor, fond uni vierge de toute intention. L’important seul est représenté : penser douceur, enfance, c’est déjà transformer un monde de laideurs en jardin, prendre le temps de s’asseoir ou aller jouer, c’est déjà faire œuvre utile : finis l’agressivité, les cris. « Un chiot, vaut mieux que deux « tu mordras »».
Tatie
LA ROTONDE
Soyez les bienvenus dans la nouvelle salle de la Rotonde et naviguez en toute technique d’arrosage dans nos salles.
Repérez vous sur les compilettes et grâce à elles l'œuvre revient TOUJOURS à l'élu.
Elle est où la compilette ? Elle est bien hébergée ?
Les Œuvres
Compilette 1
Œuvres I à IV : Salle 1
Œuvres V à VIII : Salle 2
Œuvres IX à XII : Salle 3
Œuvres XIII à XV : Salle 4
Compilette 2
Œuvre XVI : Salle 4
Œuvres XVII à XX : Salle 5
Œuvres XXI à XXIV : Salle 6
Œuvres XXV à XXVIII : Salle 7
Œuvres XXIX à XXX : Salle 8
Compilette 3
Œuvres XXXI à XXXII : Salle 8
Œuvres XXXIII à XXXVI : Salle 9
Œuvres XXXVIII à XLI : Salle 10
Œuvres XLII à XLV : Salle 11
Œuvre XLVI : Salle 12
Compilette 4
Œuvres XLVII à XLIX : Salle 12
Œuvres L à LIII : Salle 13
Œuvres LIV à LVII : Salle 14
Œuvres LVIII à LXI : Salle 15
Compilette 5
Œuvres LXII à LXV : Salle 16
Œuvres LXVI à LXIX2 : Salle 17
Œuvres LXX à LXXIII : Salle 18
Œuvres LXXIV à LXXV : Salle 19
Compilette 6
Œuvres LXXVI à LXXVII : Salle 19
Œuvres LXXVIII à LXXXI : Salle 20
Œuvres LXXXII à LXXXV : Salle 21
Œuvres LXXXVI à LXXXIX : Salle 22
Œuvre XC : Salle 23
Compilette 7
Œuvres XCI à XCIII : Salle 23
Œuvres XCIV à XCVII : Salle 24
Œuvres XCVIII à CI : Salle 25
Œuvres CII à CV : Salle 26
Compilette 8
Œuvres CVI à CIX : Salle 27
Œuvres CX à CXIII : Salle 28
Œuvres CXIV à CXVII : Salle 29
Œuvres CXVIII à CXX : Salle 30
Compilette 9
Œuvres CXXI : Salle 30
Œuvres CXXII à CXXV : Salle 31
Œuvres CXXVI à CXXIX : Salle 32
Œuvres CXXX à CXXXIII : Salle 33
Œuvres CXXXIV à CXXXV :Salle 34
Compilette 10
Œuvres CXXXVI à CXXXVII : Salle 34
Œuvres CXXXVIII à CLI : Salle 35
Œuvres CLII à CLV : Salle 36
Œuvres CLVI à CLIX : Salle 37
Œuvre CL : Salle 38
Compilette 11
Œuvres CLI à CLIII : Salle 38
Œuvres CLIV à CLVII : Salle 39
Œuvres CLVIII à CLXI : Salle 40
Œuvres CLXII à CLXV : Salle 41
Compilette 12
Œuvres CLXVI à CLXIX : Salle 42
Œuvres CLXX à CLXXIII : Salle 43
Œuvres CLXXXIII2 à CLXXVI : Salle 44
Œuvres CLXXVII à CLXXIX : Salle 45
Compilette 13
Œuvre CLXXX : Salle 45
Œuvres CLXXXI à CLXXXIV : Salle 46
Œuvres CLXXXV à CLXXXVIII : Salle 47
Œuvres CLXXXIX à CXCII : Salle 48
Œuvres CXCIII à CXCIV : Salle 49
Compilette 14
Œuvres CXCV à CXCVI : Salle 49
Œuvres CXCVII à CC : Salle 50
Œuvres CCI à CCIV : Salle 51
Œuvres CCV à CCVIII : Salle 52
Œuvre CCIX : Salle 53
Compilette 15
Œuvres CCX à CCXII Salle 53
Œuvres CCXIII à CCXVI Salle 54
Œuvres CCXVII à CCXX Salle 55
Œuvres CCXXI à CCXXIV Salle 56
Compilette 16
Œuvres CCXXV à CCXXVIII Salle 57
Œuvres CCXXIX à CCXXXII Salle 58
Œuvres CCXXXIII à CCXXXVISalle 59
Œuvres CCXXXVII à CCXXXIXSalle 60
Compilette 17
Œuvre CCXL Salle 60
Œuvres CCXLI à CCXLIVSalle 61
Œuvres CCXLV à CCXLVIIISalle 62
Œuvres CCXLIX à CCLIISalle 63
Œuvres CCLIII à CCLIVSalle 64
Les Artistes
Artistes Présentés au Musée Hervé de Rinel ( par ordre alphabétique) et leurs œuvres à la date du 7 février 2015 .
Anton :
249, 251
Bothan :
188, 193, 195, 199, 207, 210, 216, 223, 228
Coco L’Asticot :
1, 3, 5, 8, 10, 13, 18, 21, 26, 28, 32, 33, 38, 40, 42, 44, 48, 51, 56, 61, 63, 69(2), 92, 95, 102, 107, 132, 135, 137, 139, 142, 145, 150, 152, 190, 198, 200, 201, 203, 209, 211, 213, 226, 229, 236, 241, 245, 248
Flammèche :
12, 20, 24, 29, 34, 41, 43, 55, 57, 64, 71, 73, 77, 81, 87, 89, 91, 100, 105, 108, 112, 115, 119, 124, 127, 150, 153, 163, 175, 179, 181, 185, 197, 204.
GinAA :
2, 7, 15, 19, 25, 35, 39, 46, 58, 66, 68, 70, 72, 75, 82, 84, 88, 99, 101, 103, 111, 113, 116, 118, 120, 126, 128, 134, 141, 143, 161, 169, 173, 177, 187, 189, 191, 194, 196, 206, 214, 218, 220, 222, 232, 234, 243.
Guenièvre Blanche Fesse :
225
Hervederinel :
23, 27, 83, 235, 237
Kapiston :
14, 17, 59, 74, 76, 79, 114
La Fée Mélusine :
30, 52, 54, 65, 86, 90, 94, 98, 104, 125, 130, 133, 154, 159, 166, 170, 183, 239
Loufok :
247
Macrinus :
123
Mat :
106, 136, 144, 148, 151, 164, 167, 174
Nessa :
147
Ogma : 49, 53, 62, 85, 97, 110, 117, 122, 129, 131, 155, 157, 160, 168, 172, 173b, 182, 186, 192, 205, 208, 219, 221, 227, 230, 233,238, 240, 242, 244
Perniflace :
252
Retro Peccat :
34, 121, 162, 178
Tante Cryda :
4, 6, 8, 16, 47, 50, 60, 78, 80, 93, 96, 138, 140, 146, 149, 152, 165, 174, 176, 180, 184, 202, 212, 215, 217, 224 231, 246, 250
Westminster : 9, 11, 22, 31, 45, 67, 109
Salle 51
Oeuvre CCI par Coco l’Asticot
Une scène nocturne, utilisant la technique du clair-obscur. Cette technique est ici maîtrisée avec talent, reléguant les couleurs au second plan, au profit du contraste et donnant son importance aux volumes. Le sujet semble assez oppressant, avec des animaux pendus, un vieillard sénile et des mariés volants à la pleine lune. L'absence totale de perspective renforce encore l'effet imaginaire voulu par l'artiste. Plus on observe cette toile, plus elle est inquiétante. Une prouesse !
GinAA
Oeuvre CCII par Tante Cryda
A l'extrême opposé du ténébrisme affiché de nombreuses oeuvres du musée, Cryda nous brosse ici un portrait aux tonalités très vives. L'artiste prend davantage de liberté et s'essaie à l'aplat coloré contenant juste quelques petits résidus de transparences, et dans une palette de couleurs très vives, proche du fauvisme. C'est d'autant plus audacieux que le sujet est très dur. Nous sommes en face d'une scène extrêmement violente, avec un religieux menacé à l'arme blanche. L'usage de la couleur est une option que peu d'artistes auraient choisie.
GinAA
Oeuvre CCIII par Coco l’Asticot
Scène d'audition pour « La Vox Brittannia». Cette oeuvre visionnaire annonce les dérapages de la téléréalité. Le candidat s'égosille dans un micro de fortune sous le regard stupéfait d'un membre du jury. La technique naïve de l'artiste renforce le côté amateur de la scène. L'absence d'arrière plan intègre la toile dans un concept cher à Coco selon lequel, je cite : « Si en plus, faut dessiner un décor, alors, c'est 'raiiiment pas la peine!
GinAA
Oeuvre CCIV par Flammèche
Voici une représentation picturale de l'oeuvre grecque sculptée « Le sandwich ô bol ». Cette statue a été en concurrence directe avec la « Victoire de Samothrace » pour être exposée dans l'entrée d'une des salles principales du Louvre. Aujourd'hui encore, les amateurs d'art ignorent pourquoi une statue sans tête a pu gagner devant une oeuvre d'une telle puissance. Flammèche a rendu justice à cette sculpture, en la magnifiant de la plus belle des façons. Sans décor, sans fioriture, la beauté pure, de l'homme sandwich.
GinAA
Salle 52
Oeuvre CCV par Ogma
Fidèle à son thème du bonheur campagnard, Ogma nous offre sa vision d’un monde parfaitement égalitaire. Lassé de toutes les attaques discriminatoires inhérentes à notre fonctionnement social, l’artiste propose une solution simple : donner à chacun un bout de terre fertile, faire tomber les divergences vestimentaires par le port de l’uniforme et … On est en droit de s’interroger sur les intentions de cet artiste, pourtant bien connu pour ses positions tellement saines sur les problèmes de société. N’aurait-il pas versé du côté d’un extrémisme unitaire niant toute individualité ? On reste perplexe devant cette vision si totalitaire. Serions-nous en présence de la manifestation soudaine d’un manque d’humilité de l’artiste dans sa fonction éducative ? Déconcertant.
Tatie
Oeuvre CCVI par GinAA
En guerre permanente contre le machisme, l’artiste toujours engagée nous offre une toile qui ne laisse aucune place à l’interprétation. En effet le discours est clairement dirigé contre la branche masculine de l’humanité qui trop souvent, parle avec ses pieds et n’entend qu’avec ses couilles, totalement incapable du moindre discernement. On a souvent dit que l’homme pensait avec son principal attribut viril, mais personne encore, n’avait osé pousser la critique aussi loin que le fait GinAA, avec cette toile qui rabaisse la gente masculine au rang de couillus-bagarreurs, crasseux de surcroît. Une vision manichéenne et ô combien pessimiste du genre masculin.
Tatie
Oeuvre CCVII par Bothan
Par cette toile, l’artiste nous rappelle à quel point l’Homme qui se croit si aisément supérieur à tout le règne animal, peut être faible. Fléau de nos étés enfiévrés, le moustique, petit vampire assoiffé fait pourtant sa loi depuis toujours. Bothan a choisi de montrer à quel point le combat est pathétique en plaçant son objectif sur le moustique qui parait énorme face à l’homme, en arrière plan, petit être gesticulant dans le vide intersidéral. La petite bestiole habile et invisible pique et repique pendant que l’homme, excédé et adepte de Séli de Carmélide essaie de le choper à coup de pavés lancés au hasard et toujours à côté. La leçon millénaire reste inchangée depuis le combat de David contre Goliath. Un appel à l’humilité.
Oeuvre CCVIII par Ogma
Vision d’Apocalypse, scène de guerre, meurtre, animaux torturés, flots de sang… L’artiste plus connu pour ses scènes champêtres ou aquatiques nous interpelle sur un sujet polémique que nous aimons à occulter : notre passé colonial. Ogma dénonce sans fard les exactions commises au nom d’une très discutable supériorité sur des peuples pacifiques qui, pour être déjà maures, n’en demandaient pas plus. Plaçant l’assassin au centre de la toile, l’artiste fustige le semeur de maures morts. Qu’a-t-il gagné, l’imbécile ? Une poignée de sable. Déprimant.
Salle 53
Oeuvre CCIX par Coco l’Asticot
Après l'urinoir de Marcel Duchamp, porté au firmament des oeuvres conceptuelles, Coco nous livre ici une grande commission qui ne tardera pas à finir dans les annales du musée. Oeuvre subversive s'il en est, peinte uniquement sur le coup duuuu, elle n'en reste pas moins visible par des yeux innocents, tant le fondement même et le message délivré ne sont compréhensibles que par un public plus âgé. Nous avions le choix entre deux toiles de même facture de Coco l'asticot mais l'autre, intitulée « Lady Aray » nous paraissait moins solide que celle-ci.
GinAA
Oeuvre CCX par Bothan
Digne représentant du courant artistique s'inspirant des rébus, Bothan nous livre ici une oeuvre oppressante, une allégorie de l'enfermement. Avec une palette aux teintes délavées, seuls les cadenas sont en couleurs franches. Rien ne détourne le regard de ces serrures infranchissables, rendant inaccessibles les éléments enfermés, un livre et des fesses. Cette toile est donc un cri de Bothan pour l'accès pour tous aux livres de cul ! Il fait donc partie de ceux qui se battent pour qu'on l'autorise, et même pour qu'on l'encourage.
GinAA
Oeuvre CCXI par Coco l’Asticot
L'artiste teste toute la gamme de couleurs à portée de son pinceau. Audacieux, ce fond ocre en aplat, sans décor, avec un personnage à la carnation rougeâtre et à la tunique bordeaux dirige le regard vers le jaune citron. Stylisé à l'extrême, le personnage allonge un membre d'une longueur inhumaine. Ce tableau est une source de conflit dans le milieu des critiques d'art. L'auteur n'ayant pas souhaité expliquer son oeuvre, ses origines et son but, les critiques et analystes butent. A l'instar de la Joconde, ce Romain au Bras Long fera couler beaucoup d'encre dans les siècles à venir.
GinAA
Oeuvre CCXII par par Tante Cryda
Une scène campagnarde s'inscrivant dans le veine réaliste. On y retrouve trois personnages qui semblent n'être pas dans le bon tableau. Le personnage à l'avant-plan est richement vêtu, ce qui est en contradiction avec son action. C'est un peu une représentation de « Vis ma vie de fermière ». Le couple derrière semble ne pas comprendre la présence d'une « dame du monde » dans la basse-cour. Comme d'habitude, Cryda apporte beaucoup de soin à ses personnages et son arrière-plan, tout en transparence, donne un relief qu'on ne retrouve que dans peu d'oeuvres du musée.
GinAA
Et là, on vous autorise à aller casser une graine
La suite est prête et ne demande qu'une petite mise en beauté, mais, dans mon immense mansuétude, j'accorde à GinAA, qui elle, n'est pas en vacances, le droit de faire son travail rémunéré et de prendre une petite pause week-end. Je sais, je suis vraiment un amour !
On se revoit après la pub.
Cool ! Tatie m'a donné congé !
Bonne lecture à tous.
Je ne sais pas comment vous dire ...
C'est systématiquement débile mais c'est toujours inattendu.
Et ça, c'est très important pour la santé du cigare.
Je sens que je vais le prendre pour un compliment du coup, ben : Merci, Jieffe. J'y ai mis tout mon neurone et toute ta compagne.
Oui, toujours excellents les commentaires, c'est toute une histoire en eux-même.
Dans le cas de ma toile, l'histoire du couple d'amants donnant des leçons de chant au couple de loups, je sait pas où t'es allée la chercher tatie, mais elle vaut son pesant de cacahouètes !
Moi, je tire mon coup de château à Tatie pour le travail de Titan qu'on peut admirer sur le post 234. Une cinquantaine de compilettes et les 50 liens qui y sont ajoutés. Elle nous a fait un travail de ouf !
Merci qui ? Merci Crycry !
Nan mais Gigi d'mon coeur, je l'ai fait pour toi, parce que je sais que tu aimes ce musée et que t'es partie tu t'es énormément investie dans les salles, où, excusez-moi d'vous l'dire, les barbares ne foutent jamais les pieds parce qu'ici c'est le règne de l'intellect, c'est Flammèche qu'a dit.
C'est surtout un hommage au talent des immenses interprètes picturaux du forum.
Je vais tenter la phrase sérieuse, même si c'est chiant : ça m'a semblé important parce que, même si le topic n'a que 10 pages, il faut un bol de cocu pour retomber sur le tableau qu'on cherche, alors une salle ronde où débouchent toutes les salles d'exposition, ça m'a semblé sympa Ça permet d'aller lire UN commentaire, voir UNE oeuvre ou cibler UN artiste.
En revanche plus de soixante url dans le même post, ça fait belle quantité de possibilités de lien foireux et il est évident que je n'ai pas re-testé tous les liens, donc si vous "vous perdez dans un couloir", vous gueulez un peu fort : "J'suis tombé sur un lien foireux, il est comme ci comme ça, qu'est-ce tu fous ?"
Flammèche a créé LE musée qui mériterait sa page Axolot, il est gratuit, il est donc normal qu'on participe à son entretien.
Merci qui ? Merci Flammèche.
J'avais oublié ça, mais oui la rotonde est une excellente création puisqu'on peut tous les y retrouver, classés avec soin, avec compilettes à l'appui. Merci et château tatie
Merci Mélu, ravie que ça te plaise
Magnifique !! Sans déc les filles, un énorme BRAVO, vous gérez la race de sa grand-mère. J'ai tout lu, et beaucoup ri.
J'vais faire un ou deux commentaires sur les... Bin sur les commentaires aussi, tiens ! Sur les commentaires donc, mais que sur des qui concernent mes œuvres. Parce qu'encore une fois, je suis terriblement narcissique. Voilà, c'est dit, c'est plus sain.
Oeuvre CXCVIII par Coco l’Asticot
Spoiler :
(Cliquez pour afficher)
Eh, oh, manque le début d'la citation, là !! J'me suis pas cassé l'fion à lui dessiner des béquilles (sincèrement, j'ai galéré. x) ) pour qu'on oublie c'détail !
"Et il a des béquilles parce qu'...".
Oeuvre CCI
[...] des mariés volants à la pleine lune. L'absence totale de perspective...
Mais j'ai essayé de les représenter en arrière-plan !!
C'est raté apparemment. x)
L'absence d'arrière plan intègre la toile dans un concept cher à Coco selon lequel, je cite : « Si en plus, faut dessiner un décor, alors, c'est 'raiiiment pas la peine!
La Rotonde ! Superbe. Beau boulot, merci beaucoup !
Mais... J'ai vraiment fait 42 dessins !?
J'aurais pas cru... x) En fait j'suis l'deuxième plus productif après GinAA ? 44, GinAA... MAIS VOUS ÊTES CINTRÉE !?
Encore bravo et merci à vous deux et à Flammèche pour ces deux idées de génie (le jeu et le musée ) !
PS2 ♥ :
En revanche plus de soixante url dans le même post, ça fait belle quantité de possibilités de lien foireux et il est évident que je n'ai pas re-testé tous les liens, donc si vous "vous perdez dans un couloir", vous gueulez un peu fort : "J'suis tombé sur un lien foireux, il est comme ci comme ça, qu'est-ce tu fous ?"
Magnifique. Ça représente un travail de dingue, merci les filles
Et la rotonde => idée de génie
Merci à tous.
C'était bien drôle à faire.
Magnifique !!
Sans déc les filles, un énorme BRAVO, vous gérez la race de sa grand-mère. J'ai tout lu, et beaucoup ri.
J'vais faire un ou deux commentaires sur les... Bin sur les commentaires aussi, tiens ! Sur les commentaires donc, mais que sur des qui concernent mes œuvres. Parce qu'encore une fois, je suis terriblement narcissique. Voilà, c'est dit, c'est plus sain.Tante Cryda a écrit :Oeuvre CXCVIII par Coco l’Asticot
GinAA a écrit :Oeuvre CCI
[...] des mariés volants à la pleine lune. L'absence totale de perspective...Mais j'ai essayé de les représenter en arrière-plan !!
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C'est raté apparemment. x)GinAA a écrit :L'absence d'arrière plan intègre la toile dans un concept cher à Coco selon lequel, je cite : « Si en plus, faut dessiner un décor, alors, c'est 'raiiiment pas la peine!
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Je pensais que le commentaire sur ton oeuvre CCIX aurait aussi laissé des... traces !
Bien sûr !
Mais j'pouvais pas tout citer non plus. Merlin y met pas tout à chaque fois !