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MURMURES
Guenièvre et Arthur au lit. Guenièvre ronfle tandis qu’Arthur lit un parchemin.
Murmure : Arthur, jamais le Graal tu ne trouveras.
ARTHUR : De quoi ?! (Il secoue sa femme) C’est vous qu’avez dit ça ?!
GUENIÈVRE (Réveillée en sursaut) : Hein ?! De quoi ? Mais vous êtes pas bien, je dors, moi !
ARTHUR : Ben taisez-vous alors !
GUENIÈVRE : Mais je dis rien, je dors ! Hé Ho ! Ça tourne pas rond là-d’dans, hein ?!
ARTHUR : Ben c’est qu’vous dormez en parlant... ou l’inverse !
GUENIÈVRE : Et alors, qu’est-ce que j’aurais dit, soi-disant ?!
ARTHUR : Ça vous r’garde pas !
GUENIÈVRE : Ah bah, elle est pas mal celle-là ! Je dis des choses qui me regardent pas, non mais vous êtes cinoque, hein !
ARTHUR : Nan mais si c’est pas vous, ça vous regarde pas mais si c’est vous...
GUENIÈVRE : Oui, j’écoute...
ARTHUR : Si c’est vous, ça veut dire que vous êtes drôlement... enfin, j’me comprends !
GUENIÈVRE : Ah ben ça fait au moins quelqu’un qui vous comprend... chapeau, hein ! Parce que c’est franchement pas évident !
ARTHUR : Non mais excusez-moi, j’ai dû m’endormir un instant et j’ai imaginé des choses... bonne nuit. (Il souffle la chandelle)
GUENIÈVRE : Ah mais non, c’est trop facile ! J’suis réveillée moi maintenant ! Alors vous allez me faire la causette jusqu’à ce que je me rendorme !
ARTHUR : Okay... (Ronflements)
***
A la table ronde.
PÈRE BLAISE : Bien, alors, à l’ordre du jour, les mouvements de troupes burgondes... ou vikings, on sait pas bien, au niveau de... ah ben, on sait pas où, non plus !
ARTHUR : Ah ouais, ça c’est d’la précision ! Ça vient d’où ces renseignements ?!
PÈRE BLAISE : Alors là ! Prrt ! C’était là, ça traînait sur le pupitre...
ARTHUR : Alors n’importe qui peut déposer n’importe quoi sur votre machin, là, et vous, vous nous mettez ça à l’ordre du jour !
LANCELOT : On ne sait ni qui ni où, c’est du grand n’importe quoi !
PERCEVAL : Non mais c’est moi qu’ai mis ça là !
LÉODAGAN : Et d’où vous tenez vos renseignements, vous ?
PERCEVAL : De quoi ?
ARTHUR : Y a bien quelqu’un qui vous a donné ces informations pour que vous les notiez sur le parchemin que vous avez donné au Père Blaise, non ?!
PERCEVAL : Le papelard tout moisi, là ?! Ah non, moi j’l’ai trouvé par terre à la taverne, comme j’sais pas bien lire, j’l’ai posé sur la pupille du barbu, là, comme c’est son métier à lui... de lire.
ARTHUR : A la taverne ?!
LÉODAGAN : Par terre ?!
LANCELOT : La pupille ?!
PÈRE BLAISE : Le barbu ?!
PERCEVAL : Oh ! C’est bon ! Si j’avais su que ça f’rait des histoires pareilles, j’l’aurais laissé à l’autre !
LÉODAGAN : Quel autre ?!
PERCEVAL : Un vieux qui voulait le ramasser !
ARTHUR : Un vieux ?!
PERCEVAL : Ouais, enfin, j’dis un vieux pour faire classe parce que, en vrai, j’ai pas vu sa tête... il avait une capuche !
ARTHUR : Oh non mais arrêtez d’inventer des trucs...
Murmure : Arthur, infécond tu es, point de descendance tu n’auras.
ARTHUR : QUOI ?! (Il en colle une à Karadoc qui roupillait depuis le début de la séance)
KARADOC : Méééé... qu’est-ce qui s’passe ?!
ARTHUR : Ça vous apprendra à raconter n’importe quoi !
KARADOC : Mais j’ai rien dit, j’dormais !
PERCEVAL : Ouais c’est vrai, même que j’lui ai mis un coup d’coude parce qu’y ronflait !
ARTHUR : Ben alors, qui est-ce qui... laissez tomber, j’ai un truc à faire ! (Il sort)
LÉODAGAN : Entre le cureton qui raconte n’importe quoi, l’autre qui invente des vieux et le roi qu’entend des voix... on est bien dans la merde ! Mais alors, jusque là !
***
Labo de Merlin.
ARTHUR : MERLIN !
MERLIN : Oui Sire, je termine ma... potion et j’arrive !
ARTHUR : Ramenez vos miches tout d’suite avant que j’vienne vous chercher !
Merlin arrive portant une petite marmite dans une main et touillant avec une cuillère de l’autre.
ARTHUR : Une potion ? Moi, j’trouve que ça sent vachement la soupe !
MERLIN : Y a pas à dire, vous avez du nez. C’est mon dîner mais si j’arête de touiller, ça va faire des grumeaux... et j’aime pas ça, les grumeaux.
ARTHUR : Ouais, euh... j’en ai rien à cirer de votre soupe, j’ai un problème autrement plus urgent ! J’entends... des sons.
MERLIN : Ah ben c’est bien ça, c’est bon signe ! Ça prouve que vos oreilles fonctionnent parfaitement ! Vous savez, les deux trucs que vous avez de chaque côté de la tête.
ARTHUR : MAIS JE SAIS PARFAITEMENT C’QUE C’EST QU’LES OREILLES ESPÈCE D’ABRUTI ! J’entends... des voix... alors que personne ne parle.
MERLIN : Aïe ! Vous entendez des voix... vous seriez venu m’voir dans un petit millier d’années, je vous aurais d’mandé si vous êtes pucelle, mais là ! Je vois pas.
ARTHUR : De quoi ?! Pucelle ! Mais qu’est-ce que vous...
Murmure : C’est sur cet incapable que vous comptez pour vous aider ? Bonne chance !
ARTHUR : Ça y est, ça recommence !
MERLIN : La voix ?! Et qu’est-ce qu’elle vous raconte ?
ARTHUR : Ben, pour une fois, c’est plutôt un bon conseil. Il est où Élias ?
MERLIN : Mais pourquoi tout le monde me demande ça tout le temps ?! J’en ai pas la garde moi, merde !
ARTHUR : Oh, hé ! Mollo, hein ! Posez-vous les bonnes questions, plutôt ! Alors, Élias ?
MERLIN : J’en-sais-rien !
ARTHUR : Ah non mais, vous servez vraiment à rien !
ÉLIAS (Entrant tout juste) : Ah mais je passe mon temps à l’dire, ça ! Il vous fallait quelque chose, Sire ?
Arthur lui explique la situation.
ÉLIAS : Je vois qu’un truc, un démon vous chuchote à l’oreille !
ARTHUR : Et ?
ÉLIAS : Ben, c’est chiant ! Je souhaite ça à personne, c’est un truc à vous rendre dingue.
ARTHUR : Oui, merci, je m’en suis rendu compte. Vous pouvez faire quelque chose ?
ÉLIAS : Ah non mais les démons, j’y touche pas, moi ! Faut savoir rester à sa place.
MERLIN : Oh le nul, hey ! Alors, vous êtes content, vous l’avez votre Élias !
ARTHUR : Pourquoi, vous avez une solution, vous, peut-être ?
MERLIN : Ça s’pourrait bien, oui ! Vous savez que j’suis le fils d’un démon et d’une pucelle ?
ARTHUR : Oui, oui, c’est ce qui s’dit mais j’ai un peu d’mal à y croire !
MERLIN : Ben vous avez tort ! Quand Papa me faisait ce coup-là... le chuchotement...
ARTHUR : Oui, oui, roulez !
MERLIN : Ça me rendait dingue, comme vous. Alors, un jour, j’ai demandé à ma mère de faire un truc... ben, il a plus jamais recommencé après !
ARTHUR : Mais quoi, qu’est-ce qu’elle a fait ?!
MERLIN : C’est dans quelle oreille qu’il vous chuchote ?
ARTHUR : Celle-là.
MERLIN : Dès qu’il vous cause, vous me faites signe.
Murmure : Vous allez pas croire les conneries de ce...
Arthur fait immédiatement signe à Merlin qui se précipite et lui pousse un sifflement strident en plein dans l’oreille.
ARTHUR : Non mais vous êtes taré, vous m’avez bousillé le tympan !
MERLIN : Ah ben, y faut c’qui faut... c’est un démon quand même ! Y vous cause toujours ?
ARTHUR : Ah ben non, tiens ! On dirait que vous lui avez coupé la chique.
ÉLIAS : Oh le vieux coup d’bol ! J’y crois pas !
ARTHUR : Sur c’coup-là, faites-vous tout petit, vous m’auriez bien laissé dans la merde, vous !
MERLIN (Fier comme un paon) : Laissez, laissez... la jalousie ne m’atteint pas... Oh le gros nul, ah !
Dans une grotte à quelques kilomètres, Méléagant se relève péniblement, encore étourdi du sifflement de Merlin.
MÉLÉAGANT : Toujours se méfier des cons... je le savais pourtant !
***
A la table ronde.
ARTHUR : Je tiens à vous présenter mes excuses pour hier, surtout au seigneur Karadoc. J’avais un petit problème de santé mais c’est fini maintenant.
LÉODAGAN : Ah ben c’est pas dommage, on commençait à se poser des questions. Entre vous et les messages qui veulent rien dire...
PERCEVAL : Ah ouais, justement, j’ai trouvé un autre morceau du papelard dans ma poche, il a dû se déchirer.
ARTHUR : Donnez-le au Père Blaise, il va les assembler.
PÈRE BLAISE : Alors, qu’est-ce que ça donne... les Burgondes vont attaquer par le sud et les vikings par le nord-est.
ARTHUR : QUOI ?! Mais quand ?!
PÈRE BLAISE : C’est écrit... demain !
PERCEVAL : Ah ben c’est bon, on a l’temps !
ARTHUR : Mais triple connard, vous l’avez trouvé quand, ce message ?!
(Noir, voix off)
PERCEVAL : Ben hier... pourquoi ?
TSON !
LES BURKINGS
Nord-est de Kaamelott, Arthur, Lancelot, Perceval et Karadoc sont aux aguets. L’armée est restée en retrait.
ARTHUR : Mais où ils sont ces connards ?!
LANCELOT : Ils sont peut-être déjà passés.
ARTHUR : On les aurait croisés en venant dans ce cas là ! Non, y a vraiment un truc qui colle pas !
PERCEVAL : Vous cherchez des amis à vous ?
ARTHUR : De quoi ?! Des amis ? Non mais vous êtes complètement à la ramasse ! On attend les Vikings, selon les renseignements que VOUS nous avez fournis !
PERCEVAL : J’ai fait ça, moi ?
LANCELOT : Mais évidemment, le papier que vous avez posé sur le pupitre du père Blaise !
PERCEVAL : Ah ouais, ce machin là ! J’aurais mieux fait d’y foutre le feu, c’est que des emmerdes ce truc là !
ARTHUR : C’est quand même grâce à ça qu’on sait que les Vikings et les Burgondes vont nous attaquer aujourd’hui !
LANCELOT : Mais ils auraient dû accoster ici et ils sont pas là !
ARTHUR : J’espère qu’ils vont pas attaquer par le sud avec les Burgondes, sinon c’est Léodagan, Bohort et Calogrenant qui vont morfler !
KARADOC : Ou alors, si vous voulez mon avis...
ARTHUR : Non mais fermez-là, vous !
KARADOC : Ben quoi, j’ai une idée, j’peux pas la dire ?
ARTHUR : Pfff, allez-y, on sait jamais.
KARADOC : Peut-être qu’ils ont été retardés !
ARTHUR : Ouais... ça fait bien avancer les choses, ça.
PERCEVAL : Non mais vous inquiétez pas, si ça s’trouve, ils ont fait un p’tit détour pour visiter, on va les r’trouver, je suis sûr qu’ils vont bien !
***
Côte sud, tour de guet. Léodagan, Bohort et Calogrenant attendent les Burgondes.
LÉODAGAN : J’en étais sûr, pas fichus d’être à l’heure, ces cons-là !
BOHORT : D’un autre côté, s’ils pouvaient ne pas venir du tout, j’aimerais autant.
CALOGRENANT : Ah ben moi, ça m’ferait bien chier de m’être tapé la route pour rien du tout !
LÉODAGAN : Je veux, oui ! Et puis quand on dit qu’on attaque, on attaque ! C’est quoi ces manières de faire déplacer du monde et de pas s’présenter... même pas un mot d’excuse ! Ah non, si y viennent pas, j’vais les chercher !
BOHORT : Tout de même, pensez aux vies sauvées, à la paix...
LÉODAGAN : Pour avoir la paix, y a pas trente-six manières, faut trucider l’ennemi !
CALOGRENANT : Regardez là-bas ! C’est pas un bateau ?
LÉODAGAN : Bah si, c’est un bateau ! Quant à savoir qui c’est... il est trop loin.
CALOGRENANT : Ah mais non, il est pas trop loin, il est tout petit. C’est un bateau de pêche !
BOHORT : Et si c’était les Burgondes, déguisés en bateau de pêche ?!
LÉODAGAN : Et si vous la fermiez, un peu ? Ah ouais, c’est un bateau d’pêche... Bohort, allez leur demander s’ils ont vu les Burgondes !
BOHORT : Pourquoi moi ?!
LÉODAGAN : Parce que vous êtes sympathique, poli et tout et tout... nous, on risquerait de leur faire peur. Allez, grouillez-vous !
***
Nord-est de Kaamelott.
LANCELOT : Bon, je crois que ce n’est plus la peine d’attendre, ils ne viendront plus !
ARTHUR : Ouais, vous avez raison, rentrons à Kaamelott. Si la troupe de Léodagan n’est pas revenue, on ira la rejoindre au sud.
KARADOC : Ouais, y sont sûrement sur la côte sud, vos amis Bur... kings, les visiteurs étrangers, y z y vont souvent pour se baigner, la pêche, tout ça...
ARTHUR et LANCELOT : C’est PAS nos amis !
PERCEVAL : Ou sinon, y a les sites, genre menhirs et domaines, ça plait bien aux étrangers aussi !
ARTHUR : Vous savez quoi ?! Vous deux, je vous nomme chevaliers guide-visiteurs, la Bretagne vue par les glands, ça va faire un vrai malheur !
KARADOC : Ouais ! Une promotion, c’est pas trop tôt, quand même, depuis l’temps qu’on s’donne du mal !
LANCELOT : Mais enfin, c’était du deuxième degré, seigneur Karadoc !
PERCEVAL : Deuxième degré ?! Ah ben non, à cette température, on aura personne !
ARTHUR : Laissez tomber, seigneur Lancelot, à ce niveau de connerie, y a plus rien à faire et croyez-moi, j’ai essayé !
KARADOC : Ah ouais ?! Ben s’ils sont cons, en plus, y z ont qu’à s’démerder pour trouver la plage !
***
Tour de guet, côte sud. Le seigneur Bohort est de retour.
LÉODAGAN : Alors, qu’est qu’ils ont dit ?
BOHORT : Ben, je leur ai demandé s’ils avaient vu des bateaux burgondes...
CALOGRENANT : Et alors, ils ont vu quoi ?!
BOHORT : Je sais pas, ils ont rigolé et plus j’insistais, plus ils rigolaient. Je ne sais pas pourquoi mais je trouve ça un peu vexant !
LÉODAGAN : Ah non mais vraiment, hein ! On est pas aidés !
CALOGRENANT : Remarquez, s’ils étaient tombés sur des Burgondes, ils rigoleraient plus du tout... du coup, j’crois qu’on peut rentrer.
BOHORT : C’est aussi mon avis !
LÉODAGAN : Oh ben oui, vous, évidemment...
BOHORT : Ben quoi ?! J’ai fait ma part, je suis allé au-devant de ces terribles...
LÉODAGAN : Pêcheurs.
BOHORT : Peut-être ! Mais nous n’en étions pas certains à ce moment là !
CALOGRENANT : Si, si.
BOHORT : Oh ben oui, vous, évidemment...
***
Le soir même, réunion de la table ronde.
LANCELOT : C’est à n’y rien comprendre cette histoire ! Vous pensez qu’ils ont décidé de renoncer ?
ARTHUR : Qu’est-ce que j’en sais, moi ! Renoncer ? C’est pas vraiment leur genre, eux, c’est plutôt foncer dans l’tas !
LÉODAGAN : C’est quand même un monde, ça ! Pourquoi se donner la peine d’envoyer un message si c’est pas pour faire ce qu’est marqué dessus ?!
PERCEVAL : Quel message ?
ARTHUR : Oh non mais vous êtes pas possible, vous, hein ! Celui que vous avez trouvé, abruti !
PERCEVAL : ENCORE ?! Ah mais j’croyais qu’on était passés à autre chose, moi !
PÈRE BLAISE : Ouais, euh... on ferait peut-être aussi bien de passer à autre chose, parce que là... on y comprend plus rien !
ARTHUR : Ouais, vous avez raison, on saura sans doute jamais ce que c’était cette histoire...
PERCEVAL : Sinon, pour en finir avec cette merde... j’ai r’trouvé un autre morceau du papelard dans ma poche.
LÉODAGAN : Oh non mais c’est pas vrai !
PERCEVAL : Ben quoi ? C’est pas d’ma faute si leurs messages font des miettes !
PÈRE BLAISE : Donnez-moi ça ! Alors, euh, celui-là, ça va là, celui-là, comme ça... les Burgondes vont attaquer par le sud et les Vikings par le nord-est. Demain, pendant la première fête d’Agonalia.
ARTHUR : La première fête d’Agonalia ?! Mais c’est en plein hiver ça, ça fait six mois que c’est passé !
LÉODAGAN : Ah ben oui, c’est la dernière fois où on leur a mis une raclée, vous vous rappelez pas ?
ARTHUR : Et vous l’avez trouvé hier, seigneur Perceval ?!
PERCEVAL : Ça dépend... par rapport à quand ?
LÉODAGAN : Ah non mais ret’nez-moi, j’vais l’tuer !
(Noir, voix off)
PERCEVAL : Ouais, ben, c’est bien la dernière fois que j’ramasse un truc, moi !
TSON !
Hé, il y a toujours de nouveaux scénarios par ici ! Du coup j'ai passé un bon moment. Premier sketch : bonne idée ! Deuxième sketch : classique mais efficace ! Je suis pas venu pour rien, merci Gerfo ! (TSON !)
C'est vrai que tu te fais rare, ces temps derniers. J'adore ta prose.
Gerfo a pris la relève et je me marre bien. Il est intarissable.
Merci à vous deux
Tes deux histoires étaient très bien. J'ai surtout apprécié la première où le duo Merlin/Élias était juste par-fait !
Je m'éclate à chaque fois que je te lis, Gerfo !
"Murmures" a ma préférence, toutefois les deux s'imbriquent à merveille... Merci beaucoup, Gerfo !
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